Acheter des vêtements en seconde-main : 12 possibilités pour trouver son bonheur

acheter vêtements seconde main

Il y a encore quelques mois, acheter mes vêtements en seconde-main n’était pas une évidence pour moi. En tant qu’ainée d’une fratrie de trois enfants, j’ai toujours eu la chance d’avoir des vêtements neufs. Ils étaient ensuite légués à ma petite sœur pour une nouvelle vie. C’est une habitude et même un privilège que j’ai continué de cultiver par la suite, machinalement.

Pourtant, lorsque j’ai décidé de ne plus mettre un pied chez les grandes enseignes de fast-fashion, il a fallu que je trouve des alternatives. Ce n’est pas parce que l’on transitionne vers un dressing responsable qu’on ne peut plus se faire plaisir de temps à autre !

Parmi les possibilités qui s’offraient à moi, acheter mes vêtements en seconde-main est apparue comme une façon de consommer beaucoup plus responsable et respectueuse de l’environnement. Donner une nouvelle vie à un vêtement, ne pas utiliser de ressources pour produire du neuf, autant d’arguments qui m’ont convaincue de franchir le pas.

Je suis alors passée en mode détective de la fripe pour vous montrez que les possibilités d’acheter ses vêtements en seconde-main sont nombreuses. De la friperie aux grands magasins en passant par les marques elles-mêmes, la seconde-main s’est vraiment démocratisée. Il y en a pour tous les goûts : en ligne ou en magasin, style vintage ou marques modernes… La seconde-main n’aura plus de secret pour vous !

#1 Les friperies

Premier exemple pour acheter ses vêtements en seconde-main : les friperies
La boutique Reformation Vintage de Los Angeles

Je pense que c’est la première image que l’on a lorsque l’on parle de mode vintage ou de seconde-main. Et juste après, les étals de vêtements surchargés et une légère odeur de vieux qui flotte dans la boutique… Bon. Dans certaines friperies, c’est le cas, et on adhère ou pas. Idem pour le style des vêtements : tout le monde ne se projette pas dans une robe des années 50 ou une chemise bariolée 70s.

Pour ceux qui ne sont pas emballés par le style vintage, sachez que certaines friperies se spécialisent dans la mode « contemporaine ». Les vêtements sont en très bon état, parfois ils portent encore une étiquette. J’ai néanmoins l’impression que ce créneau est plus courant aux Etats-Unis qu’en France, où les applications (dont on parlera après 😉 ) sont plus utilisées pour les vêtements modernes.

Avantage : le style rétro, les pièces uniques.

Inconvénient : le style justement, qui ne plait pas à tout le monde. Les magasins parfois emcombrés qui peuvent décourager.

#2 Le Vintage en ligne

Deuxième exemple pour acheter ses vêtements en seconde-main : les friperies en ligne
Imparfaite Paris

Vous préférez faire votre shopping depuis votre canapé ? Sachez qu’il est désormais possible de commander sur des sites spécialisés dans la fripe en ligne. Et comme ce n’est pas toujours simple de savoir si ce pantalon patte d’eph sur lequel vous avez flashé vous sierra, la plupart des sites proposent de retourner les articles qui ne vous conviendrait pas.

Avantage : les chineurs professionnels ont déjà opéré une première sélection pour ne proposer que des vêtements au meilleur rapport qualité / prix.

Inconvénient : les frais d’envois (suivant les sites) vs la friperie classique.

Exemples de boutiques en ligne :

  • Imparfaite Paris : les inspirations sont canons et les looks permettent vraiment de se projeter. Idéal pour quelqu’un comme moi qui se demande toujours comment marier une pièce vintage avec mon dressing.
  • Beyond Retro : avec sa sélection pointue des années 60 à 90, le site est un vrai voyage dans le temps.
  • Lapin Boutique : une sélection inspirée des 60s’, du rock and roll, de la nouvelle vague et des cafés parisiens.
  • Tilt vintage : une sélection plutôt Streetwear pour Homme et Femme.
  • Look Vintage : le site se distingue par la grande attention portée aux photos et à la présentation des vêtements.
  • Urban Outffiters : le temple de la mode hypster propose une sélection de vêtements vintage sur son site. Des pièces d’occasion revendues telles quelles ou bien upcyclées par des stylistes.
  • Asos Marketplace : si Asos est un site de mode bien connu de tous, sa marketplace l’est un peu moins. Pourtant on y trouve une énorme sélection de vêtements de seconde main, vendues par de petites boutiques indépendantes.
  • Etsy : on trouve également sur Etsy une vaste sélection de vêtements d’occasion. Pour cela, il suffit de cocher l’option vintage dans les filtres. Par défaut, je trouve le choix immense un peu démotivant donc je préfère visiter les friperies comme Funky Boheme qui vendent sur la plateforme.

#3 Les app (et sites) pour acheter et vendre entre particuliers

Troisième exemple pour acheter ses vêtements en seconde-main : les sites et applications entre particuliers
Vide Dressing

Les sites dédiés à la vente de particulier à particulier ne manquent pas, et parmi eux on compte notamment Le Bon Coin ou Ebay. Pour ma part, je préfère les sites dédiés à la mode, qui offrent des interfaces plus sympa et des filtres plus pertinents pour la recherche d’accessoires et vêtements en seconde-main.

Avantage : ke filtre de taille qui permet d’être efficace dans ses recherches.

Inconvénient : possibilité de déconvenue si on tombe sur un vendeur peu scrupuleux.

Exemples de sites et applications :

On ne présente plus l’application à laquelle sont devenues accro les fashionistas (et pas que d’ailleurs). Que ce soit en tant que vendeur ou acheteur, l’app est simple à utiliser, mettre en ligne un article prend moins d’une minute et on trouve même des vêtements neufs encore avec leur étiquette.

Tout juste lancée, Ethic2hand c’est le Vinted de la mode éthique que l’on attendait ! Le site garantit que les produits proposés respectent l’environnement et/ou les conditions de travail de ses ouvriers textiles. On y trouve également des fins de séries de marques responsables pour notre plus grand bonheur.

Le catalogue de produits est vaste et le choix très large en termes de marques. La commission est offerte sur les ventes jusque 150€. Le + :  les retours sont possibles sous deux jours (avec remboursement de l’article). C’est la seule plateforme, à ma connaissance, qui propose ce service de retour.

Spécialisé dans la mode haut de gamme, luxe et designers, on y trouve aussi bien des petites robes Reformation qu’un sac Birkin à 17 000€. Le site a un rôle de tiers de confiance. Les articles vendus transitent par leurs locaux pour d’être authentifiés avant d’être envoyés à l’acheteur.

Streetwear, luxe ou vintage, le site est spécialisé dans la mode haut-de-gamme. On peut vendre un peu partout dans le monde sur ce site, donc pensez à sélectionner les vendeurs autour de vous pour limiter l’impact du transport.

L’application fonctionne comme un réseau social un peu arty au sein duquel les membres achètent et revendent les pièces de leurs looks favoris.

#4 Les brocantes et vides-greniers

Quatrième exemple pour acheter ses vêtements en seconde-main : les brocantes
crédit photo : Nikita Tikhomirov

Si vous vous sentez l’âme d’un chineur, les brocantes sont faites pour vous. On y vient pour faire de bonnes affaires, et les prix sont presque toujours négociables. Personnellement j’ai toujours cette petite excitation de partir à la chasse au trésor et tomber sur une pépite dans le bric-à-brac des étals.

Avantage : le prix, en général bas et négociable.

Inconvénient : il faut chiner, fouiller, explorer, chercher, remuer, scruter … bref il vaut mieux être ouvert à la bonne surprise et ne pas avoir de pièce précise en tête !

# 5 Les vide-dressings éphémères

Cinquième exemple pour acheter ses vêtements en seconde-main : les vide-dressings éphémères
Violette Sauvage

La version hypster de la brocante. Je pense en particulier à Violette Sauvage qui organise des évènements géants plusieurs fois par an dans toute la France. Chiner devient un vrai plaisir lorsque la musique est animée par un DJ, et une pause au bar à ongles ou au healthy bar vous permettra de vous remettre de vos émotions devant tant de bonnes affaires 😉

Les prochains évènements Violette Sauvage sont annoncés ici.

Sinon, pour trouver le prochain vide-dressing près de chez vous, rendez-vous sur cette page.

Avantage : le côté évènement au-delà de la partie shopping.

Inconvénient : l’entrée parfois payante (quelques euros en général).

#6 Les réseaux sociaux

Sixième exemple pour acheter ses vêtements en seconde-main : les réseaux sociaux
crédit photo : Georgia de Lotz

Je pense à Facebook marketplace qui met en relation les particuliers, mais également aux nombreux groupes de ventes ou de troc de vêtements près de chez soi. Dans certaines villes, il y a même des groupes « Buy Nothing » qui encourage les dons à la communauté, et cela fonctionne aussi pour des vêtements en seconde-main.

Avantage : ça se passe près de chez vous.

Inconvénient : pas toujours simple de tomber sur ces groupes, mais parlez en autour de vous, le bouche à oreille fonctionne bien en général.

#7 Le dépôt-vente en magasin

Septième exemple : les dépots-vente en magasin

Le principe est simple : vous confiez vos vêtements ou accessoires à un commerçant dépositaire, qui s’occupe de les revendre pour vous. Le magasin se rémunère via une commission sur la vente, ce qui implique que si vous déposez une pièce vous ne toucherez vos gains qu’au moment où elle sera vendue.

J’ai déniché quelques adresses à Paris, que je vous partagerai à l’occasion dans un article dédié.

Avantage : pratique lorsque l’on a une grande quantité de pièces à se séparer (ou qu’on a la flemme!).

Inconvénient : la commission en général conséquente.

#8 Le dépôt-vente en ligne

Huitième exemple : les dépots-vente en ligne
Vestiaire Collective

Le principe est le même qu’en magasin, sauf que le vendeur envoie ses articles au dépôt ou à l’adresse de stockage du site, en général via une enveloppée pré-timbrée. C’est le site qui s’occupera ensuite de les mettre en ligne, de répondre aux éventuelles questions et de les envoyer une fois vendus. L’acheteur, lui, bénéficie d’une expérience en ligne similaire à un eshop classique.

Avantage : la visibilité des sites qui peut aider à vendre plus rapidement.

Inconvénient : la commission plus élevée pour le vendeur que sur une plateforme entre particuliers.

Exemples de dépots-vente en ligne :

Sélection pour homme et femme de marques grand public, telles que Levi’s, Comptoir des Cotonniers ou Vero Moda. Petit plus : la politique satisfait ou remboursé pour les articles renvoyés sous 15 jours.

Le site spécialisé dans la revente haut-de-gamme propose également un service de conciergerie, qui s’apparente ni plus ni moins à un dépôt-vente. Vestiaire Collective se charge de la rédaction de la description, de la prise des photos, de la mise en ligne et de la gestion des commentaires. En tant que vendeur, la commission s’élève à 35% pour ce service.

#9 Les troc-party

Neuvième exemple : les dépots-vente en magasin
crédit photo : Violette Sauvage

Faire le tri dans son armoire et piocher gratuitement dans de jolies pièces dont d’autres se sont lassé, ça donne envie n’est-ce pas ? C’est le principe des troc-party : chacun(e) apporte des vêtements et accessoires propres et en bon état, et espère trouver en retour une pièce qui lui plaira.

Avantage : le plaisir de se faire plaisir sans sortir le porte-monnaie.

Inconvénient : ce n’est pas parce que c’est gratuit qu’il faut repartir les bras chargés de vêtements que vous ne porterez pas, sinon le vide dressing n’aura servi à rien ! 😉

#10 Les friperies d’associations caritatives

Dixième exemple : les friperies d'associations caritatives
Label Emmaüs

De nombreuses associations revendent dans leurs friperies des articles qui proviennent de dons afin de subventionner leurs œuvres caritatives. Ces organisations créent également des emplois via la collecte, la réparation, la distribution et la revente de vêtements, mobilier et autres objets divers. Cela représenterait en France près de 5 000 personnes qui travailleraient dans les métiers du recyclage et de la récupération en économie sociale (source).

Avantage : on se fait plaisir tout en luttant contre la pauvreté et l’exclusion de personnes en difficultés.

Inconvénient : les friperies ne sont pas toujours bien rangées, mais on s’y rend volontiers pour la bonne cause.

Exemples de friperies d’associations caritatives:

On peut soutenir l’association en faisant ses achats via son site, Label Emmaüs, ou parmi le réseau de friperies solidaires. On compte pas moins de 7 boutiques Emmaüs Alternatives à Paris. Elles organisent régulièrement des ventes spéciales (dont des ventes au kilo). Tenez-vous au courant de leur actualité depuis leur page FB

Acheter dans les magasins solidaires à Paris, Lille et Strasbourg permet de soutenir l’association dans la lutte contre la pauvreté et les inégalités.

Le Relai a également son propre réseau de friperies solidaires, appelé Ding Fring. Rendez-vous sur cette page pour trouver une boutique proche de chez vous.

On peut également soutenir ces associations qui visent à la réduction des déchets et la sensibilisation à cette problématique. Les ressourceries récupèrent ainsi les objets dont nous souhaitons nous débarrasser, revendent ce qui est en bon état, et détournent ou recyclent le reste. Pour en savoir plus sur le concept de recyclerie c’est ici, et pour en trouver une près de chez vous, c’est là.

#11 Les grands magasins

Onzième exemple: les corners vintage des grands magasins
crédit photo : Welcome to the Jungle

Saviez vous que l’on peut trouver un corner vintage dans la majorité des grands magasins ?

Aux Galeries Lafayette, c’est à l’espace Culture Vintage que ça se passe. Le corner propose des vêtements et accessoires vintage et tendances, mais également des pièces upcyclées par des stylistes à partir de vieux vêtements. Ces pièces sont uniques et fabriquées en France. Sympa non ? Au sein du groupe Printemps, c’est Tilt Vintage qui a investi les enseignes Citadium, un peu partout en France.

Avantage : la sélection rétro dans l’ère du temps. Le fait que les grands magasins sensibilisent leurs clients aux vêtements de seconde-main.

Inconvénient : revient à dépenser dans les grands magasins alors que l’on pourrait soutenir les petits commerces.

#12 Les marques elles-mêmes

Douzième et dernier exemple : les réseaux de revente des marques
La boutique solidaire Sézane à Paris

C’est un phénomène qui prend de l’ampleur en ce moment. De plus en plus de marques souhaitent reprendre le contrôle (et des parts de marché !) sur la revente de leurs vêtements de seconde-main et proposent désormais leur propre plateforme d’occasion. Transactions mieux encadrées, contrôle de la qualité, repérage des éventuelles contrefaçons, les avantages sont nombreux tant pour le vendeur que pour l’acheteur.

Si les marques de vêtements pour enfants sont déja nombreuses à proposer un service de revente entre particuliers, de plus en plus de marques de mode (pour les femmes généralement) suivent le pas.

Avantage : les pièces sont contrôlées (et parfois réparées) par la marque elle même.

Inconvénient : en fonction des plateformes, le vendeur récupère soit le montant en cash soit en bon d’achat à dépenser chez la marque partenaire.

Exemples de marques Homme et Femme :

La Boutique solidaire Sézane fonctionne grâce aux dons des clientes d’anciennes pièces de la marque, auxquels la marque ajoute des pièces d’anciennes collections. L’intégralité des bénéfices est reversée à Demain, un programme solidaire qui favorise l’accès à l’éducation, à la culture et le combat pour l’égalité des chances.

La marque française de souliers a lancé récemment L’Atelier Bocage, un service de location pour les membres du programme de fidélité. Pour 29€ par mois, ces derniers peuvent choisir une paire de leur choix à porter pendant deux mois. Les chaussures peuvent ensuite être échangées en magasin contre une autre paire. Les paires rapportées seront traitées et reconditionnées avant d’être proposées sur une plateforme de seconde-main qui sera lancée fin 2019. Affaire à suivre donc.

Le site a lancé sa plateforme de vide dressing entre particuliers, basé sur la proximité. En effet, le vendeur poste un article en ligne puis sélectionne jusque 3 magasins Camaïeu dans lesquels il est prêt à déposer l’article une fois vendu. L’acheteur aura alors 5 jours pour le récupérer en magasin. Le service est gratuit et sans commission.

La marque américaine outdoor et pionnière en matière de responsabilité environnementale a sa propre plateforme de revente, Worn Wear depuis 2017. Un service de réparation est également proposé.

Exemple de marques pour enfants :

Cyrillus a lancé sa plateforme, Seconde Histoire, sur laquelle on trouve des produits d’occasion pour toute la famille. La formule est très intéressante pour les vendeurs : pas de commission, et la possibilité d’être rémunéré soit en cash, soit en carte cadeau abondée de 50% à dépenser chez Cyrillus.

L’application de la marque française intègre un espace de vente d’occasion entre particuliers de pièces Petit Bateau. Ce sont les clients qui fixent les prix et s’organisent librement pour l’expédition et le paiement des articles. La marque ne prend pas de commission sur les transactions. Cela lui permet cependant de communiquer sur la solidité et la durabilité de ses produits.

Le groupe qui rassemble les marques Jacadi, Obaïdi et Okaïdi et Oxybul a créé Ïtroc, des sessions de dépôt-vente d’articles d’occasion réservées aux membres des programmes de fidélité. Cela se passe en magasin lors de sessions organisées tout le long de l’année. On y trouve des vêtements mais également des jouets, des livres et du matériel de puériculture. Pour participer à la prochaine session, c’est ici.

  • Tape à l’Oeil

La marque pour enfants lance sa plateforme de seconde-main, TAO Newlife en septembre 2020. Le + de l’application? Elle vous permet de sélectionner dans l’histoire de votre compte client les articles que vous voulez revendre. La plateforme remplit ainsi automatiquement les informations comme la taille, le prix d’origine, le descriptif ou encore la couleur. La plateforme peut aussi retrouver les photos prises en studio ou des photos des vêtements portés. Super pratique.


Et vous, avez-vous l’habitude d’acheter des vêtements en seconde-main ? Avez-vous d’autres sites à conseiller ? N’hésitez pas à laisser un commentaire pour que je l’ajoute à l’article.

Et pour ceux qui sont encore hésitants face à la seconde-main, je vous conseille ce petit guide pour vous aider à acheter neuf et éthique.

6 Replies to “Acheter des vêtements en seconde-main : 12 possibilités pour trouver son bonheur”

  1. Ohlalala merci pour cette mine d’infos ! y a plein de sites que je ne connaissais pas, ça me changera de vinted 🙂

    1. Merci Manon, ravie de voir que cet article t’a été utile ! Je suis une grande fan de Vinted aussi, mais c’est toujours sympa de découvrir d’autres sites et plateformes, surtout lorsque l’on a une pièce bien précise en tête 😉

  2. Je suis une dingo des friperies mais malheureusement je n’en ai pas dans ma ville (uniquement des dépôts ventes et ça ne me convient pas). Du coup, je profite de chaque passage à Paris pour aller y faire un tour ! Je découvre toujours des pépites pas chères ! Sinon, j’utilise Vinted depuis 5 ans, il faut fouiner !
    Line de https://la-parenthese-psy.com/

    1. Pareil pour moi, j’attends avec impatiente mes visites à Paris pour y découvrir de nouvelles adresses de friperies et dépot-vente. Quelles sont tes préférées ?
      En attendant tu peux te rabattre sur les friperies en ligne comme Imparfaite ou Beyond retro … mais le plaisir n’est pas le même que de chiner dans les rayons à la recherche de la perle rare, ça c’est sûr 😉

  3. J’achete vintage et seconde main depuis presque 10 ans. Je suis accro a l’application Depop et c’est la dessus que la majoriter de mes vetements viennent (et s’en vont aussi car je vend dessus aussi)

    1. Hello Vanessa, je n’avais pas encore eu l’occasion de tester cette application, mais c’est désormais chose faite en lisant ton commentaire. Je viens de la télécharger et oh joie (!) il y a pas mal de choix dans mes marques coup de coeur américaines !

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